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Lors du lancement d'Uber en Flandre la semaine dernière, le PDG Laurent Slits a fait une promesse coûteuse sur la disponibilité d'un Uber dans les villes flamandes de Gand, Anvers et Louvain. Pourtant, la demande semble maintenant être encore plus importante que l'offre. Le journal flamand het Nieuwsblad a fait le tester à Anvers, Gand et Louvain. Uber travaille exclusivement avec des pigistes. Des chauffeurs indépendants qui enregistrent et sortent quand cela leur convient. Ils ne font également que les manèges qu'ils veulent.

Le premier essai a eu lieu dans l'après-midi pour commander un Uber d'Anvers-Nord à Anvers-Sud, un trajet de 7,13 euros selon l'application. Malheureusement, il n'y a personne aux alentours, car le trajet n'est pas accepté. Le vélo de partage était la seule solution. Plus tard, il essaie à nouveau, cette fois à la maison. Pendant un moment, cela semble fonctionner, mais le pilote Dian doit venir de Boom. Il réalisera également que cela lui coûtera plus que ce que cela rapportera et il annule.

"Il y aura suffisamment de chauffeurs pour desservir les villes centrales." Le PDG Laurent Slits a fait cette promesse coûteuse la semaine dernière lors du lancement d'Uber en Flandre. Encore plus difficile que prévu pour tenir cette promesse.

Le prochain test est à Gand. Au bout de dix minutes, un chauffeur apparaît, mais commander le trajet lui-même est un peu difficile. Par exemple, il a fallu beaucoup de temps pour ajouter une carte de crédit au compte. À Louvain, il s'agit de cultiver la patience: l'application donne toujours un message d'erreur. Lorsqu'il fonctionne encore, il faut beaucoup de temps avant qu'un pilote ne soit gratuit. Après cinq tentatives, cela fonctionne. Et puis il reste dix minutes à attendre.

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