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Au Royaume-Uni, il y a des investissements importants dans les véhicules électrifiés pour réduire la pollution de l'air dans les grandes villes. Même l'icône britannique - le London Cab - a aujourd'hui un groupe motopropulseur électrifié. Boris Johnson est prêt à payer plus de 3 milliards d'euros pour cela. L'argent qui devrait être utilisé pour installer des bornes de recharge dans tout le pays et pour construire des usines gigantesques pour des batteries durables. 

Le Royaume-Uni peut quitter l'Union européenne, mais le plan climatique du Premier ministre Boris Johnson est beaucoup plus strict pour les émissions des voitures que la variante européenne. Une intention ambitieuse, disent les experts. Certainement par rapport à ce que l'Europe impose actuellement. L'Europe exige que 2030% des voitures neuves soient à faibles émissions d'ici 35. Selon le journaliste Koen Baumers du Nieuwsblad La vente de véhicules neufs diesel et essence est interdite d'ici 2030. 

 «Cela nous permet de mettre fin aux ventes de voitures neuves à essence et diesel d'ici 2030», écrit Johnson dans un article d'opinion du Financial Times. «La vente de voitures hybrides capables de parcourir une distance importante sans produire de CO2 sort de l'échappement, nous autorisons jusqu'en 2035. »

Les constructeurs automobiles eux-mêmes n'ont pas peur de ce qui va arriver. Selon la fédération belge Febiac est la L'industrie automobile est prête à passer à l'électrique d'ici 2030. Selon ZERauto.nl Le Royaume-Uni compte actuellement environ 24.000 9.000 points de recharge répartis sur 50 XNUMX sites. Pas assez pour recharger le nombre croissant de PHEV et de véhicules électriques. Le gouvernement britannique investit ainsi près de XNUMX millions d'euros dans des start-up développant une nouvelle infrastructure de recharge.

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