Même avec des pénuries de personnel qui font rage, les employeurs semblent peu disposés à proposer des améliorations.

Vendredi dernier, une délégation de la FNV, en collaboration avec la CNV, a de nouveau entamé des pourparlers avec les employeurs pour négocier la nouvelle convention collective de travail des transports de soins et des taxis. Il s'agissait des premières négociations depuis l'été et, compte tenu de la hausse de l'inflation, elles avaient une priorité : créer une sécurité financière pour les membres. Les syndicats indiquent qu'en raison de factures d'énergie exorbitantes et de produits d'épicerie coûteux, il a longtemps été impossible pour nombre de leurs membres de joindre les deux bouts, même avec toutes les heures supplémentaires.

ensemble d'exigences

Les négociations ont commencé en mai avec un ensemble d'exigences fortes de 18 points pour améliorer la nouvelle convention collective de travail. Après 6 rounds de négociations, les syndicats ont indiqué qu'ils voyaient peu de mouvement de la part des employeurs. Même avec des pénuries de personnel qui font rage, les employeurs semblent peu disposés à proposer des améliorations. La FNV perçoit cette attitude comme le fait que les employeurs ne voient pas qu'une bonne convention collective de travail est nécessaire pour attirer de nouveaux collègues et, plus important encore, pour les retenir.

passez

C'est pourquoi ils ont présenté une proposition vendredi pour tenter de faire un pas vers les employeurs. Les syndicats sont prêts à déplacer un grand nombre de points aux négociations de l'année prochaine. Mais seulement si les employeurs proposent les points clés suivants. Une compensation automatique des prix (APC) pour que les salaires soient augmentés annuellement et que le pouvoir d'achat ne baisse plus.

Ils veulent utiliser l'APC pour la convention collective de travail 2023 comme suit : un salaire minimum de 14 € de l'heure, où 14 € sera le premier échelon de salaire dans la nouvelle structure salariale et tous les autres échelons augmenteront avec lui. En cas de maladie, les syndicats souhaitent le maintien à 100% du paiement dès le premier jour et la suppression des jours de carence. En ce qui concerne le temps de travail, il existe une demande d'égalité de traitement du temps de travail pour le personnel mobile et non mobile.

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Pour augmenter la pression, ils organisent une réunion de stratégie de convention collective de travail pour les membres de la FNV le samedi 1er octobre.

Tous les signaux sont également au rouge pour les employeurs. Compte tenu des consultations de la semaine dernière avec les syndicats, il a été décidé de transformer la réunion de la caisse de résonance de KNV en une assemblée générale formelle des membres de KNV Zorgvervoer en Taxi. Au vu des derniers développements, il est d'une grande importance que le plus grand nombre possible de membres participent à cette assemblée générale des membres et que l'association professionnelle puisse adopter une position largement soutenue par les membres.

des actions

Les employeurs offrent une augmentation de salaire de 8 % et sont encore à 7 % d'au moins 14 $ de l'heure. Ils s'en tiennent également au maintien actuel du paiement du salaire en cas de maladie. Cela signifie toujours une pénalité pour les syndicats sur le salaire des membres lorsqu'ils sont malades. Cela signifie également que les jours d'attente pendant lesquels les personnes ne reçoivent pas de salaire restent intacts.

Les employeurs souhaitent également que l'ancien temps rémunéré soit réintégré dans la convention collective de travail, selon laquelle un maximum de 6 interruptions peuvent avoir lieu sur le lieu de travail avec une durée illimitée. Cela signifie que s'il n'y a pas de courses pour un conducteur, il ne sera pas payé de temps. Pour augmenter la pression, ils organisent une réunion de stratégie de convention collective de travail pour les membres de la FNV le samedi 1er octobre.

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