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Les chauffeurs de taxi exigent toutes sortes de choses qu'une entreprise normale qui se respecte devrait accorder à ses employés.

Le fait qu'Uber ne réponde pas aux protestations fait partie de la politique. Vous ne pouvez pas non plus vous attendre à ce que le responsable européen d'Uber, Maurits Schönfeld, parle à des militants en colère. Les conducteurs ont essayé de remettre l'ensemble des exigences à la direction, mais c'était tout. Le syndicat FNV a organisé l'action qui a commencé sur le site de NDSM et s'est terminée devant le siège social d'Uber sur M. Treublaan à l'Est.

Amrit Sewgobind, directeur de FNV Platformwerk : "La taille est vraiment pleine pour les chauffeurs, ils sont sous-payés, Uber ne se conforme pas aux décisions des juges et les chauffeurs sont bloqués tout le temps". Et si les chauffeurs veulent en discuter avec la direction, Uber ne proposera rien de concret.

Une connexion en direct a également été établie avec une action simultanée en Angleterre, où il existe également une demande pour de meilleures conditions de travail. Selon le syndicat, la direction d'Uber ne veut pas parler aux chauffeurs. Pourtant, tout indique qu'Uber finira par être perdant et devra donner aux chauffeurs ce à quoi ils ont droit selon la loi et la convention collective de travail.

Une centaine de chauffeurs Uber en colère réclament un salaire plus élevé au siège de l'application américaine de taxi à Amsterdam.

L'affaire en soi n'est pas nouvelle. La FNV combat Uber depuis des années, car elle ne traite pas les chauffeurs comme de véritables indépendants, mais n'embauche pas et ne paie pas non plus les salaires de la convention collective. Il appel cette affaire est toujours pendante et donc Uber n'a pas encore à se conformer à la décision. Au grand désarroi de certains chauffeurs de taxi qui étaient même masqués. La police a sommé la FNV d'intervenir et d'éloigner les chauffeurs de taxi du siège social.

Uber répond dans un communiqué de presse que les chauffeurs ont commencé à gagner 35% de plus au cours de l'année écoulée et que 94% de leurs chauffeurs ne veulent pas être employés. Cependant, la FNV estime qu'Uber devrait agir comme un bon employeur. Le syndicat souhaite également que les conducteurs cessent d'être expulsés de l'application

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