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Un chauffeur de bus du transporteur Arriva a demandé à deux reprises à une femme avec un nikab à Stein, dans le Limbourg, de libérer son visage ou de quitter le bus. Lorsque la femme n'est pas sortie et n'a pas non plus quitté le bus, le chauffeur a décidé d'appeler la police et de reporter le voyage.

La police est venue sur les lieux et a commencé à parler à la femme, après quoi la femme a finalement laissé la femme dans le bus volontairement.

Instructions préparées pour les employés.

Malgré tout, une société de transport Arriva fait valoir que le conducteur n'a pas pleinement agi conformément aux directives car, malgré l'interdiction, un passager avec un billet valide ne peut pas être contraint de quitter le véhicule car il y a une obligation de transport.

C'est là que la chaussure pince cette nouvelle règle qui dit qu'à partir du 1er août, porter des vêtements couvrant le visage dans l'éducation, les soins de santé, les transports publics et dans les bâtiments gouvernementaux n'est plus autorisé. L'obligation de transport y est diamétralement opposée et c'est la raison pour laquelle Arriva tape du doigt du conducteur.

Les sociétés de transport public ont élaboré des instructions claires à l'intention des employés sur l'interdiction partielle des vêtements couvrant le visage. Il indique clairement que les enquêteurs ne sont pas compétents et que seule la police peut appliquer l'interdiction. 

La violation de l'interdiction entraînera une amende de 150 euros. Dans ce cas, la police a choisi de ne pas infliger d'amende.

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Bleu Pitane