Print Friendly, PDF & Email
Image Pitane

Cette fois, ils vont tous ensemble à La Haye.

La FNV appelle tous les employés de toutes les entreprises de transports et de taxis de soins de santé à faire grève le 15 décembre. Également les employés qui sont employés par une agence de placement. En raison de la grande complexité de leur travail, les chauffeurs HAP ne sont pas appelés à faire grève et ne sont invités à participer aux actions que lorsqu'ils ne sont pas en service. 

Plus tôt, Royal Dutch Transport (KNV) a informé les membres dans un e-mail qu'il espère que le syndicat FNV reprendra ses esprits et décidera de cesser d'agir, maintenant qu'une convention collective est sur la table. Cet accord n'a jusqu'à présent été accepté que par les membres du syndicat CNV. L'organisation patronale espère donc que la FNV décidera d'arrêter de faire campagne. 

Au cœur de la convention collective que KNV Zorgtransport en Taxi et CNV Vakmensen ont conclue le 29 novembre se trouve une augmentation de salaire de 8 % avec effet au 1er janvier 2023 et de 4 % supplémentaires avec effet au 1er janvier 2024. Le maintien du paiement des salaires en cas de la maladie et le régime des pauses vont également évoluer en faveur des salariés. La FNV n'a pas pu accepter les engagements proposés par l'organisation patronale et a décidé de poursuivre la grève.

pas d'accord

Le syndicat FNV a précédemment appelé tous les employés à travers le pays de Bios Groep, Citax, Connexxion, Dorenbos, Haars Groep, Munckhof, Noot, RMC, TCR, de Vlieger, Witteveen et Willemsen de Koning à participer à une grève de 30 heures. Après des mois de négociations, une pétition aux 24 2.500 signatures de chauffeurs et une grève de 24 heures le vendredi 18 novembre, selon les membres du syndicat FNV, le patronat ne comprend toujours pas comment les salariés sont sous l'eau. 

Lire aussi  KNV : les innovateurs en matière de mobilité unissent leurs forces pour un avenir vert

C'est pourquoi ils ont continué dans plus d'entreprises et plus d'endroits que la dernière fois. Ils gardent une centrale électrique en Hollande du Nord, Hollande du Sud et Brabant du Nord réunion d'action et appelons tous les employés qui vivent ou travaillent dans ces provinces à se regrouper dans un lieu central.

Pendant une grève, certaines règles s'appliquent aux employés et aux employeurs. Par exemple, aucune violence ne peut être utilisée et les menaces ne sont pas autorisées. De plus, le travail des grévistes ne peut être repris par des collègues non grévistes ou des intérimaires. 

(Le texte continue sous la photo)
Grève Nationale Taxis et Transports Sanitaires

Les employeurs du secteur des soins et du transport par taxi (regroupés au sein de KNV Care Transport and Taxi) ont précédemment fait une ultime tentative pour parvenir à une nouvelle convention collective de travail. Les employeurs ont soumis une offre finale améliorée pour une convention collective de travail. L'offre finale a une durée de dix-huit mois. La convention collective de travail doit entrer en vigueur le 1er janvier 2023 et durera jusqu'au 30 juin 2024. Les employeurs ont de nouveau proposé une augmentation de salaire de 8 % à compter du 1er janvier 2023 et de 4 % supplémentaires à compter du 1er janvier 2024. De plus, par rapport aux modifications de l'offre finale antérieure en ce qui concerne les pauses et le maintien du paiement en cas de maladie.

Les employeurs souhaitent modifier le régime actuel des pauses afin que les pauses non rémunérées ne puissent être retenues que si elles ont effectivement été prises. Dans le cadre du dispositif actuel, un maximum de 12,5 % du temps de travail peut être retenu forfaitairement. Dans la nouvelle proposition patronale, en cas de maladie, 80 % du salaire seront également versés pendant les huit premières semaines puis 90 %, jusqu'à la deuxième année de maladie incluse. Le jour d'attente expire également avec le premier rapport de maladie.

Lire aussi  Cour suprême : TUI doit s'incliner devant la FNV dans la bataille des conventions collectives

Les employeurs abandonnent également le désir de revenir à l'ancien régime de temps rémunéré. Les employeurs proposent toutefois de modifier le régime actuel pour le rendre plus applicable dans la pratique. Dans la proposition des employeurs, la durée du poste peut désormais varier par jour, ce qui est plus conforme à la demande de transport. Dans le même temps, la proposition permet aux conducteurs de mieux connecter vie privée et travail. Les employeurs proposent également de ne pas appliquer la déduction pour trajet domicile-travail si les conducteurs doivent utiliser une borne de recharge éloignée de leur domicile.

Enfin, en raison des trop grands défis techniques, les employeurs proposent d'annuler la proposition d'enregistrement en ligne des services. Naturellement, l'enregistrement du temps reste obligatoire, de même que la mise à disposition obligatoire de possibilités pour le Fonds Social pour la Mobilité de contrôler cet enregistrement.

Articles Liés:
Journal des taxis