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Le moins que l'on puisse dire sur la FNV, c'est qu'elle a le goût de booster l'adhésion.

Des grèves ont lieu dans presque tous les secteurs, avec ou sans collègues du CNV. La grève produit apparemment des membres, et cela devrait être clair maintenant. En janvier, 7.353 1 personnes ont adhéré à la FNV. Il s'agit du nombre le plus élevé d'adhérents au syndicat en un mois et c'est la troisième fois en quatre mois que ce record est battu.

"Bien sûr, nous sommes fiers que le FNV soit en hausse, mais il est beaucoup plus important que de plus en plus de gens, en particulier les jeunes, se lèvent et se défendent, pour leur avenir et les uns pour les autres. Ils se rendent compte que vous sont plus forts ensemble et que vous pouvez vous organiser en un contre-pouvoir est toujours une nécessité impérieuse. Nous voyons cela se refléter dans de plus en plus d'actions, de meilleurs résultats et un soutien croissant au sein de la population.'"

Dans la semaine à venir, les membres de la FNV feront campagne dans plus d'une centaine d'endroits. Boas, chauffeurs de bus, taxis de soins et Uber, éboueurs, paysagistes, chauffeurs et conducteurs de lignes de transport régionales, vendeurs dans le Bijenkorf et le reste de la rue commerçante descendent dans la rue pour des salaires équitables et de meilleures conditions de travail. L'appel des travailleurs se fait chaque jour plus fort : nous méritons mieux.

(Le texte continue sous la photo)
Photo: FNV

L'inflation a creusé un trou dans le pouvoir d'achat et des augmentations de salaire significatives sont désespérément nécessaires. Malheureusement, la réponse des employeurs est trop lente et insuffisante. L'incompréhension à ce sujet grandit et l'étirement parmi les travailleurs a disparu. Février sera donc un mois orageux. Les actions vont se succéder dans les prochaines semaines.  

"Des membres de différents secteurs se passent le flambeau. Ils ressentent la douleur des augmentations quotidiennes des prix dans leurs portefeuilles. Nous n'avons jamais commencé une année avec autant de grèves et d'actions, déjà dans 11 secteurs et entreprises. Cela en dit long sur le besoin et la détermination de nos membres. Malheureusement, la réponse des employeurs est en deçà de la moyenne. Certains employeurs vont même agir au Sénat mardi parce qu'ils ne veulent pas que le salaire minimum augmente.

Une augmentation à 14 euros de l'heure s'impose d'urgence, selon la FNV. «Nous exigeons également cela des politiciens. Et d'ailleurs : leur appel à des salaires plus élevés sonne creux s'ils ne mettent pas eux-mêmes suffisamment d'argent à disposition dans les secteurs semi-publics comme les hôpitaux et les transports régionaux.

La tempête de grève ne se limite pas à la semaine prochaine. Il existe actuellement des ultimatums de sociétés telles que Hibin, easyJet, Fokker Elmo et Intertek qui expireront à court terme. Là aussi, l'action est imminente si les employeurs ne se conforment pas aux exigences de la FNV. Le 15 février, une grande grève nationale des éboueurs et des boas, ainsi que d'autres fonctionnaires municipaux, s'ensuit. Les 17 et 18 février, les chauffeurs des taxis de soins se mettront en grève. Dans les hôpitaux généraux, le baromètre est aussi en tempête.

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